La programmation de cette année au Parc est bien inégale. Après un "la mère de madame..." désastreux, nous voilà revenu dans un grand spectacle qui tourne sans problème.
On se retrouve très vite dans l’intrigue et comme au cinéma.
On passe de Bakerstreet à un manoir en passant par un tour en barque ou dans des souterrains.
Nicolas Ossowski donne vie à un Sherlock bien campé sur ses pieds mais perturbé par son passé et Othmane Mounen donne un Watson très chouette, malin et espiègle. Le reste de la distribution est très bonne aussi.
Voulant offrir un grand spectacle, le jeu est large et éclatant.
Deux (...)