Théâtre de misère : nouveau genre de tourisme ? Texte déicide, langue chaotique massacrée par une diction saccadée issue d’un état d’ébriété peu appétissant ; recyclage de discours ordurier à jets continus…c’est dans l’air pour l’instant. Donnez-nous un masque à oxygène, que l’on respire !
La désacralisation de Marie choque à bien des égards. Quel rapport y a-t-il avec cette fille –mère prostituée, païenne et paumée, ivre de vin, errant dans un monde kafkaïen et dont le désespoir crie vengeance ? C’est incongru et on a du mal à saisir le propos. On appelle cela du théâtre progressiste ? On est loin d’être (...)