Le machiavélisme contre la pureté et l’innocence et passant par le sauvage sans attaches, happé par l’ailleurs, incapable de se fixer. Le texte est complexe et beau, le décor reflète la pureté du ciel puisqu’il y a une pièce à ras du premier rang des spectateurs. L’étonnement nous ravit déjà les yeux dès le départ. Ajoutons une immense balançoire pour peser les âmes, un élément mobile, aussi versatile et insaisissable que le personnage de Louis. De magnifiques dialogues sont échangés sur cette grande balançoire qui innocemment oscille entre les différentes réalités. Les quatre personnages sont incarnes avec (...)