On peut évidemment ne pas aimer les décors, les costumes, l’interprétation, c’est surtout une question de goût personnel, peut-être tributaire de l’âge du spectateur… quoique, dirait Bruel ! Mais on ne peut absolument pas passer à côté du message essentiel de cette pièce, à savoir que l’accès aux chaussures jaunes est devenu hélas la préoccupation primordiale de nos « citoyens » quel que soit le prix à payer puisque comme le dit si bien et si cyniquement l’actrice principale tout s’achète. Et que les bras se lèvent à l’unisson façon hitlérienne pour condamner sans jugement équitable. Que pèsent maintenant la (...)