Avec leur premier spectacle au nom étrange : "j’ai gravé le nom de ma grenouille dans ton foie", la Clinic Orgasm Society avait frappé fort, très fort. Ils continuent leur exploration de la déconstruction théatrale, cassant les codes et multipliant l’utilisation incongrue d’objets et de technologies. Malheureusement ce second spectacle me paraît nettement moins jouissif et assez ennuyeux. D’un Dieu et ses créations de chair, qui semblent tous parler comme l’horloge parlante, on a bien du mal à voir le fin mot de (...)