Comme plusieurs je n’ai pas accroché pendant les 3/4 de la pièce, cherchant en vain où l’on voulait m’emmener, à chercher le file entre ces scenettes criées, éructées, ces mots crachés presque incompréhensibles, entrecoupées de musique dance et de courtes séquences vidéo. Une première partie comme un tableau impressionniste de l’adolescence où l’on aurait claché les clichés dans un tintamarre de couleurs sombres. Violence des mots, violence des gestes, violence des images ; violence de l’adolescence certe, mais sans support.
Ce n’est qu’à la fin qu’on donne au specateur les clés pour sortir du tableau et (...)