Le père : Ne jette pas la pierre… depuis ce jour-là, je…
Le fils : Tu te drogues. Ce n’est pas bien.
Le père : Non. Je frappe aux portes, avant d’entrer… à part quelques passages de ce genre on est en plein trash, le vocabulaire est cru, assourdissant de vulgarité, répété ad nauseam, la syntaxe titubante. Meurtre de la langue. Maternelle de surcroit. Ni père ni fils n’ont de nom. La violence n’a pas de nom. Il est vrai que les fis et les pères ont souvent mille et un comptes à régler, mais ni l’un ni l’autre ne sont dans la réalité, tous les deux, ados inachevés, ils ne résistent pas au passage à l’acte, (...)