C’est loooooooooooooooooong ! Difficile de ne pas décrocher pendant les 2h20 de cette mise en scène des 10 cahiers (incomplets !) de Kafka. Le sujet est déjà oppressant, de par l’absurdité incompréhensible du système judiciaire d’un État totalitaire dans lequel le héros est englué sans savoir pourquoi (parfaitement transposable dans notre Etat prétendument de droit, comme K croit que l’est le sien, au début de l’histoire, cela dit ! ). Mais la mise en scène avec une voix off omniprésente, commentant en permanence l’action, souvent en décalage avec elle (ou la remplaçant inutilement là où l’action se (...)