En rejoignant la ’très juste & sensible’ critique de Laure Primerano,
il est vrai que la passion tendait surtout à la Passion du Christ.
La m.e.s. très investie, aux tendances parfois sur.minimalistes, et une lumière ’inconfortable’ pour les photosensibles, regorge de sublimes tableaux qu’on en perdait le fil des mots.maux trop textuels. Ces mots.maux surjoués en mode déclamatoire claquaient bien loin du tourbillon de cette passion qui aurait davantage relier les comédien.ne.s au public.
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Sûrement à revoir, pour en avoir une autre ’lecture’ et davantage apprécier le travail de fond des 4 (...)