Grumberg étant ce qu’il est - toujours égal à lui-même, il faut parfois un "petit vélo" pour le suive - a, à nouveau, commis un texte génial que j’avais déjà eu l’occasion "d’approcher dans une autre vie" ...
Le plaisir n’en fut que plus grand ...
Et c’est sans compter sur le jeu de nos deux magnifiques pointures du théâtre belge, la tout à fait charmante Marie-Paule Kumps et le distingué Pascal Racan, habilement et sobrement mis en scène par une Emmanuelle Mathieu qui n’a pas manqué de rappeler à mon bon souvenir certains "traits" de ... "La Permanence" ... ;-)))
Pour mon plus grand plaisir, une fois de plus (...)