La m.e.s. était un peu plus subtile qu’une simple succession de tableaux : zapping, quelques enchaînements et ’déchaînements’ en mode miroir, construction et déconstruction, et un gros plan avec une bonne dose d’autodérision sur la genèse du spectacle ’ici’.
Que les 4 comédiens parallèlement accompagnés par le musicien-compositeur nous (dé)livrent brillamment un texte ’intelligent’ malgré les termes indigestes & soporifiques propres au monde bancaire & de la finance, preuve en est qu’ils retiennent toute notre attention (enfin presque, il y a toujours des spectateurs somnolents...) est déjà un (...)