TIMON d’ATHèNES (par le collectif de Roovers)
ou
quand Shakespeare se retourne dans sa tombe...
Nous étions curieux d’assister à ’ce phénomène’. (salle pleine et liste d’attente)...
Un véritable massacre, le texte n’est ni porté, ni joué, il est jeté à notre face, récité de mémoire et encore avec beaucoup d’imprécisions.
La mise en scène, ou l’absence de mise en scène, l’éclairage et les costumes aident à faire passer ce ’douloureux moment’, que mes oreilles me pardonnent de leur avoir imposer des notes si mal jouées (...)