Pourquoi
s’appelle-t-il « Greek », cette pièce ? Je n’y ai pas trouvé l’élégance,
la richesse et surtout la profondeur de la mythologie grecque. Quelle déception !
Je
n’a i pas aimé l’esprit dérisoire employé pour traité la matière de l’inceste, normalement
si intéressant ! En fait, sauf une
avalanche de références sexuelles exprimées avec une vulgarité gratuite et a mon
avis pas nécessaire (le dialogue entre Œdipe et le sphinx et la « relecture »
de l’énigme en clé sexuelles touche le ridicule), le sujet a été, peut être
délibérément, mis sur un plan étranger à l’intimité des personnages et aux
perceptions du (...)