Et voici donc un spectacle où il n’y a rien, qui ne propose rien, où l’on attend désespérément de déceler une étincelle hypnotique, un soupçon d’esthétisme graphique qui ne viendront jamais. Et le décor sonore est à l’avenant. Nostalgie d’une certaine forme d’avant garde de la charnière des années ’60-’70 ?
En bout de course une vraie tristesse devant la moue déconfite des actrices qui, faces aux applaudissements polis, semblent tout à coup se réveiller et réaliser dans quelle galère elles se sont (...)