Le syndrôme des Martyrs en plein : une pièce longue où il ne se passe rien. Pire : où rien ne semble pouvoir se transmettre. Ni sentiment, ni émotion, ni réflexion, ni position...Le choix du naturalisme et le jeu des comédiens y est pour bcp, car bien que Gérard Viviane, Jaoued et quelques autres arrivent à animer un brin leurs personnages, les autres semblent se contenter de plaquer leur technique et oublient tout simplement qu’il y a un propos, un langage à défendre, et une empathie à transmettre. Je doute fort qu’un seul se soit réellement ne fusse que "posé la question" de ce que (se) représente un (...)