Garcimore est mort
Avec « Garcimore est mort », Gaël Santisteva propose une « fiction ambiguë », une « version augmentée de la réalité », enrobée d’artifices liés au spectacle : applaudissements, rideau, costumes, jingle, chansons… Des codes connus, questionnés, utilisés à rebours, à même de créer « une performance volontairement éloignée des stratagèmes habituels du merveilleux (...)