Cetains ont aimé se retrouver devant la situation : l’obligation de subir pendant une année ou deux un professeur névrosé. Et enfin : RIRE. Les spectateurs ravis de redevenir des potaches se sont bien amusés, quoiqu’empêchés de chahuter. Dommage, un grand plaisir ma foi !
Au début, on joue le jeu avec bienveillance, mais au fur et à mesure que la mise en scène de Virginie Hoq prend le pas sur la comédienne, on finit par prendre ses distances. Surtout avec les couplets répétés sur l’homosexualité et les gestes ob-scènes et on a juste envie de dire : Non merci ! Malgré le talent évident de la comédienne et (...)