Waouw, quel pièce ! Enfin, faut-il
parler de pièce ou de monologue ? (même si Michel Jurowicz intervient 3
fois, c’est quand même Jacqueline Bir qui tient 1h20).
On entre dès le début dans la chambre, une
perspective nous fait carrément tomber dedans, on est aspiré. Un air de violon,
la servante s’excuse mais commence à parler d’elle, de son histoire, de son
aventure, de son amour. Elle raconte et raconte. Puis, elle s’excuse d’avoir privé
de sieste et le violon revient.
Voilà, en 1h20, on passe par une histoire
captivante, racontée avec brio. Décors très simple mais prenant, diction
évidente, (...)