Sans doute faut-il être un inconditionnel de Woody pour que, version théâtre, cela accroche véritablement. A côté de moi, ca riait beaucoup. Pour ma part, j’ai souri une dizaine de fois ; par les répliques ou le décalage des énergies ; mais je dois quand même confesser que je me suis assez ennuyé et ai passé plus de temps à contempler ma voisine de devant que le plateau. La faute sans doute à la prévisibilité de tout ce qui se déroule, que ce soit l’action, le jeu des acteurs, le stéréotypage mis en avant. Cela manquait à la fois de grotesque et de subtilité (ce qui n’est pas incompatible (...)