A priori, le sujet ne m’intéressait guère (!) mais je dois reconnaître que j’ai été agréablement surpris par la scénographie et les jeux de lumière. La musique, les coups sur la porte, le bruit incessant des canettes...quel tumulte assourdissant, au point d’en perdre le fil du texte. Dommage aussi pour la comédienne dont le plâtre et la béquille entravait les mouvements et dont l’aisance s’en ressentait. Par contre, un grand coup de chapeau à Roland Vouillot, le comédien suisse qui interprète la mère de façon (...)