Une éblouissante première au théâtre Claude Volter hier soir. L’interprétation presque surjouée de la femme-infantilisée, agace royalement : les sautillements, la voix perchée, le rire de casserole, la cervelle d’oiseau - de l’étourneau à la bécasse. Bien que, derrière cette façade, il y ait le mensonge salvateur et un amour considérable (inconsidéré ?) pour le père et le mari de ce personnage surféminisé...la deuxième partie de la pièce, lorsque la femme enfin se révolte, fait plaisir à voir et à entendre. Tout à coup la voix de la comédienne sonne juste ! La mise en scène est d’une facture résolument (...)