La première constatation que nous pouvons faire est simple : vraisemblablement, même le monde des contes de fée est en crise… Il y a maintenant deux ans, Sébastien Ministru revisitait Cendrillon dans sa version gay et voici maintenant Marie Henry qui, à la Ionesco, démolit les préconceptions inhérentes au canevas du conte de fée. Est-ce seulement un phénomène propre aux contes de fées ?
Les anti-héros peuplent le grand écran, les loosers se battent dans la cour des belles-lettres et même les scènes de théâtre sèment des miettes de pains en carton. Bon, soit, le sujet n’est pas là, n’est-ce pas. Vous, (...)