Il pourfend les jeux absurdes d’immortels. Il réhabilite les traces, les vestiges, le cycle de l’humus erectus. Les larmes aux yeux, il exhume les recommandises. Un homme à part. A part entière. Il enterre la course à la conshommation qui remplit les paniers mais pas les vies. Cette consommation qui inhume, qui inhumanise plus sûrement encore, et finirait même par casser le cycle. Ce spectacle touche par son intelligence, il nous relie, il nous solidarise inévitablement par petites touches qui font mouche. La mort fait partie de la vie. Tel un arpenteur de la démesure humaine Philippe Vauchel (...)