C’est la troisième pièce de ce dramaturge québecois à laquelle j’assiste (Cendres de cailloux,Le langue à langue des chiens de roche).
C’est toujours une plongée,pleine de compassion, dans le monde des laissés pour compte, dans une langue qui nous surprend (syntaxe et vocabulaire)mais nous emporte.
"Celle-là",en 20 instantanés réaniment les souvenirs du Vieux (excellent Gerard Vivane),Celle-là et le Fils.
Petit bémol:la mise en scène m’a laissée perplexe.