Où Purgatoire rime avec Jubilatoire. A deux pas de la rue des Pigeons (de la cathédrale du Sablon, il s’entend), je viens de découvrir_ mea culpa, maxima culpa pour ne pas l’avoir trouvé plus tôt, alors qu’il existe depuis 25 ans_ un café- théâtre adorable, sorte d’estaminet souterrain nommé la Samaritaine. Il y règne une atmosphère chaleureuse et vibrante. Déjà un excellent début. Et puis quand les lumières s’éteignent on « nait » au jubilatoire. C’est aussi brillant que le concerto No 2 premier mouvement de Prokofiev… excusez la correspondance, mais c’est joyeux, maîtrisé, abouti , plein de brio ! Car il (...)