Hélas si elle avait voulu aller vers l’autre, lire la beauté, analyser la souffrance, les élans, décrypter les messages, elle ne serait pas tombée de son secondaire banal presque raté, en une vie rythmée par la bouteille de whisky « de deux jours d’âge » qui règle ses jours et ses nuits... Pour échouer en fin de parcours, comme infirme d’hôpital lucide et triste. Triste toute sa vie. Isolée dans son bovarysme. Elle n’aura aucune visite, mais ne sera pas déçue « Il n’y a personne pour me décevoir. » « Et ce bip ! » Horripilant, comme un sablier pressé d’en finir, de vous envoyer, une fois pour toutes, dans le (...)