Novecento présenté au théâtre de la Clarencière était superbe. Le narrateur, Emmanuel De Candido, nous entraîne dans l’histoire d’une manière telle que le lendemain encore il nous reste des images comme si c’était un film que l’on avait vu.
Que dire alors de Pierre Solot, le pianiste, qui outre sa représentation de Novecento, a un talent fou, son jeu rejetant également des images, tant il était expressif. "Ses mains couraient tellement vite sur le clavier que l’on aurait dit un film tourné en accéléré" (a dit un spectateur de 11 ans).
Un grand moment de théâtre et de musique (...)