J’ai trouvé que Jean-Louis Leclercq secoue allégrement le confortable cocotier de notre routine avec un spectacle vivifiant et joyeusement décalé, mais les dernières minutes seront plus prenantes pour moi avec une profonde évocation de l’homme et de sa vie rythmée par un trouillomètre interne qui au rythme des sempiternels Tu n’aurais pas du, Tu ne savais pas ?, Tu n’as pas su, et autres Pourquoi tu n’as pas ? jalonne l’existence d’un beau répertoire d’interdits ou de sanctions.
A ne pas ratez Grand Soir, une jolie série de réflexions persifleuses, subtiles et grinçantes qui ont de plus l’immense mérite (...)