Je reste sur ma faim.
La mise en scène est vivante, colorée, évidemment de saison.
Mais, elle s’éloigne beaucoup du livret de La Bohème. Le Paris des années 1830 est méconnaissable, au profit d’un décor de Noel kitsch, de carte postale, à l’américaine, avec Santa Claus et tutti quanti. Cette production allemande est trop peu personnelle.
Il y aurait pourtant beaucoup d’idées de mises en scène possible dans les cadres urbains européens actuels des bobos parisiens, bruxellois, milanais ou berlinois...Dommage (...)