Je me suis retrouvé devant un spectacle construit au-delà des clichés mille fois ressassés, alors que je m’attendais peut-être un peu au départ à une comédie sociologique balisée justement par les relations formatées. Une façon trash aussi d’aborder le sexe, de verbaliser ses délires presque inconscients. C’est fort comme sensation, comme si un café de la Grand-Place passait un porno hardcore un dimanche début d’après-midi devant une table de touristes sexagénaires venus déguster une bière locale.
Puis, du jeu qui ose et qui hurle les frustrations de l’humain en mauvaise équation.
Quelques faiblesses (...)