Il m’est rarement arrivé de ne pouvoir applaudir à la fin d’un spectacle, tant j’étais submergée par l’émotion qu’il avait suscitée.
Non seulement le propos de Zweig que les trois comédiens du Public ont mis en scène nous interpelle avec force, mais l’interprétation d’Itsik Elbaz est époustouflante. Était-ce parce que j’étais assise au premier rang ? J’ai eu peur pour lui tant il semblait, à un moment, friser l’apoplexie.
Deux heures après la représentation, j’étais encore en état de choc et envahie de questions sur...le monde d’aujourd’hui (...)