A la sortie du ’Carnage’, quelques un.e.s appréciaient la.es performance.s tout en soulignant l’absence de narration.
Le propos de la pièce est raccord avec cette absence de narration, sortir du cadre ’théâtral’, il.elle.s sont en recherche de quelque chose, ce quelque chose qu’il.elle.s ne ’savent’ pas. Tous les codes sont explosés.explorés, la limite c’est le ’no limit’, se perdre pour mieux se retrouver... ça bouscule, ça provoque, ça envoie : l’écho de leur rage, de leur.re désarroi, de ce n’importe quoi qui est toujours mieux que ce ’rien ne me convient’.
Beaucoup de soins à la scénographie, aux costumes, (...)