Un décor très réaliste (la vitrine, le lit, la petite cuisine sommaire) d’une chambre de putain, musique techno-électro, attitude lascive d’une belle femme peu vêtue et au vocabulaire fleuri adressé aux passants, potentiels clients : c’est le point de départ très brut de cette pièce. On pense qu’on va assister à la vie assez sordide de cette pute, Rose et de son mac, Tony, et ce sera en partie le cas, mais très vite, on plonge dans leur histoire personnelle qui se trouve être le propos principal du scénario. Et puis il y a les 2 autres : Muriel et Nacho, qui tombent dans ce bouge comme 2 cheveux dans la (...)