Très bon aperçu de l’œuvre de Goscinny, on retrouve dans le film des scènes d’un peu partout. L’évocation des années soixante est attendrissante pour ceux qui l’ont vécue…. L’arrivée des frigidaires, de la télévision noir et blanc, des 2CV, le règne de la noble 404 Peugeot. Le goût éternel de la bouteille d’encre cachée derrière le rideau déchiré, juste après les plantes de citronnelle ... l’estrade, les pupitres en bois sombre. Ce que devaient être les écoles de petits garçons en culottes courtes, débardeurs et cravates, puisque les filles n’y avaient pas accès. Tout cela nous semble si loin, déjà perdu dans les (...)