Le Syndrôme de Walt, c’est croire encore aux happy-end, au Prince Charmant, que les gentils sont bons et les méchants mauvais, point à la ligne. Le Syndrôme de Walt, ça ressemble à beaucoup d’innocence et un brin de fantaisie sur le plateau. Dans une multitude de courtes scènes plutôt décousues, les trois comédiens nous font naviguer en eaux troubles : ici un bonheur mensonger, là le ridicule d’un espoir réalisé, ou là encore la réalité scientifique d’un conte de fée. De petites touches autour de la thématique des contes, de ces histoires qu’on raconte aux enfants en espérant entraîner ceci ou cela chez eux. (...)