Quelle bonne surprise ! Deux (voire trois) parties, l’une dédiée à la communication extrême l’autre à la consommation obsessive, rien de très original donc, mais on aime à partager des regards sur ces traits communs des deux dernières décennies. C’est enlevé, percutant, bilingue, plein de vie ! Paul Pourveur est très bien servi par ce jeune collectif qui prend un plaisir visible sur scène. Dans la salle, des spectateurs fort jeunes et visiblement pas habitués au théâtre. Ils sont surpris, agréablement, et s’amusent, forcément aussi d’eux-mêmes. C’est clair : le théâtre sort grand gagnant de Plot your city, (...)