Globalement d’accord avec la critique de Catherine Sokolowski
et l’avis de caillou_des_caraibes.
Mais je serai nettement plus enthousiaste.
Olivia Carrère a un beau regard au propre et au figuré.
L’intérêt majeur réside dans les demi-teintes d’un texte jouant sur plusieurs registres,
dont celui de l’humour et de la dérision.
Economie de moyens. Pas d’effets inutiles.
L’inanité et la vacuité des discours autour du coaching sont intelligemment brocardées.
Magnifique aussi le traitement de l’injonction contradictoire consistant à prôner la révélation de soi et le dénigrement des originalités.
Non, (...)