L’odeur
« Anouar, le sans-abri, est mort. Le travailleur social se lève comme tous les jours. Va partir au travail. Il doit aussi vivre avec cette absence. Continuer son travail, avec les autres. Comme à chaque fois qu’il y a un mort. Il cherche à tenir, encore, trouver du sens, y croire… Mais cette fois, c’est trop. Le travailleur raconte. (...)