L’argent

Théâtre | Théâtre la Balsamine

Dates
Du 6 au 15 octobre 2011
Horaires
Tableau des horaires

Contact
http://www.balsamine.be
info@balsamine.be
+32 2 735 64 68

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L’argent

L’argent Du 6 au 15 octobre 2011 à 20h30 (relâche le dimanche et le lundi)A la Balsamine Infos et réservations : 02 735 64 68 www.balsamine.be« In a darkness of a dark room, dark characters prepare a dark project. A theater on the dark side of life. A dark phantasm with brains and madness and ghosts and many others dark things from a dark creator. A Show d’Arkas ! Come and see this terrible masterpiece of vanity ! “L’ARGENT est un spectacle qui parle de LA MORT.Comment mettre des images sur ce mot indéfinissable ? Indéfinissable, mais qu’on tente de définir... en vain. Tout cela peut paraître désespérant, mais la Mort a l’avantage de ne pas manquer d’humour ou du moins de créer des situations qui prêtent à rire.

Écriture et mise en scène : Stéphane Arcas Assisté de Cécile Chèvre
avec Marie Bos, Nicolas Luçon, Philippe Sangdor et Claude Schmitz
Scénographie, costume : Marie Szersnovicz
Lumière : Margareta Andersen Une production de la BalsamineAvec le soutien de la SACD (aide à l’écriture) et du WBTD (aide à la diffusion)


La Balsamine, 1 avenue Félix Marchal 1030 Bruxelles Prix : de 4 à 14€ , Art. 27, Arsene 50

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2 Messages

  • L’argent

    Le 17 octobre 2011 à 01:46 par Yris

    La mise en scène est originale et bien pensée. De plus, on ne sais pas prédire ce qui se passera au fil de la pièce.
    Malgré le jeu des acteurs qui fut remarquable, j’ai du mal à m’imprégner de la pièce. 4 personnages qui nous proposent 4 monologues...ou presque. 1h30 qui en paraît 3h00. Déçue, à proposer à un public averti.

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  • L’argent

    Le 17 octobre 2011 à 08:45 par liznave@hotmail.com

    Un tantinet d’accord avec la première critique "Mort de l’argent". Cependant le sujet n’étant guère aisé, j’ai apprécié la pièce qui aborde de front les rides de notre société soi-disant "développée" ainsi que sa mise en scène, le jeu subtil des acteurs, son message lancinant ... .
    En effet, il fallait le faire et ce fut bien fait !
    J’ai carrément aimé.
    Il faut oser mettre le doigt là où cela fait mal : argent, mort, le bel parallélisme.
    Prêtons-y attention pour redresser la barre eu égard au monde que nous tendons à nos enfants et petits-enfants présents et à venir.

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Lundi 10 octobre 2011, par Caroline Paillard

La mort de l’argent

L’argent parle-t-il de l’argent lié à la mort ou plutôt de la mort qui est toujours liée, d’une manière ou d’une autre, à l’argent ? Telle est la question que nous nous sommes posée à la sortie de la pièce.
C’est un concept pour le moins alléchant que nous présente ici la Balsamine :
« Voici un projet emblématique de notre saison : l’argent lié à la mort. (…)Il est de plus en plus difficile d’estomper le fossé entre ceux qui n’ont rien, même pas les mots, ceux qui ont de moins en moins et ceux qui ont tellement qu’ils ne savent plus comment le cacher. La vie artistique, miroir de nos sociétés, reflète cette précarité générale. L’ « artiste », empêché d’accomplir son œuvre, en est réduit à la non-existence. »

Cette mort de l’art, de l’âme… Cette société de consommation qui broie tout, à commencer par du noir, annihile les moindres rêves et envies sans sourciller. En voilà un thème contemporain qui devrait en intéresser plus d’un !

Seulement, il n’en est rien. Les phrases saisies sur le site du théâtre ne reflètent pas complètement le projet d’Arcas qui tente en réalité d’établir un parallélisme métaphorique pour le moins obscur entre notre conception humaine de l’argent et de la mort. Et c’est tout de suite beaucoup plus complexe

Malheureusement, si le décor est audacieux et la mise en scène intrigante, la lenteur extrême et le manque de luminosité desservent totalement cette pièce absurde et décousue au possible ! Un poil trop d’ailleurs. Le jeu loufoque des acteurs – comprenant son lot d’hésitations, de silences, de répétitions et de tics - crée un rythme haché qui, drôle au départ, finit irrémédiablement par lasser et, entre fatigue et exaspération, notre cœur balance plus d’une fois.

Loin de nous l’envie de dénigrer cette création théâtrale mais nous nous devons d’avouer que, personnellement, nous ne fûmes que très peu convaincue par les moyens de communications usités…

Carole Glaude

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