After the walls (utopia)

Depuis quelques années, l’architecte Bernard Loizeau sillonne le pays pour y donner une série de conférences sur la relation de l’homme à son habitat. Au travers d’UTOPIA, il nous livre ses visions de l’avenir : un rêve architectural sans précédent, comme solution aux défis sociaux, démographiques et écologiques de notre temps. À mi-chemin entre la conférence et la célébration, UTOPIA est un chant d’espoir adressé à l’humanité, une expérience unique dont nul ne sort véritablement indemne !

Concept, texte et direction : Anne-Cécile Vandalem
Interprétation : Vincent Lécuyer
Production : Théâtre de Namur
Du 23 avril au 3 mai à 20h30, le dimanche 27 avril à 15h et le mercredi 30 avril à 19h30 au Théâtre National
Prix : 19 € - 15 € - 10 €

Réservation : 02/203.53.03

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3 Messages

# After the walls (utopia)
Le 25 avril 2014 à 09:50 par VincentD

J’ai vu cette pièce lors de sa création l’an dernier dans le cadre du KFDA. J’avais beaucoup aimé le sujet. Mais surtout la performance époustouflante de Vincent Lecuyer. Il est véritablement habité par son sujet et il vous secoue. A voir absolument.

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# After the walls (utopia)
Le 26 avril 2014 à 10:19 par Annick

Admirable - époustouflant de vérité - beau questionnement sur l’avenir de l’homme et de son habitat (protection ou insécurité ?). On sort un peu embrouillé par les propos parfois contradictoires —> au spectateur à faire le tri et à faire fonctionner ses méninges ...
Un grand bravo à Vincent Lécuyer - incroyable, sidérant, il parvient tout naturellement semble-t-il (cfr on perd de vue qu’il s’agit de théâtre) à susciter en nous une belle palette d’émotions et de réflexion.
Bien curieuse de suivre le travail d’Anne-Cécile Vandalem - on en redemande !

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# After the walls (utopia)
Le 27 avril 2014 à 10:47 par Doctora

Excellent spectacle, à voir assurément...

Avant d’entrer dans la salle, les spectateurs sont invités à écrire leur prénom sur une petite carte et à l’accrocher à leur vêtement, comme le font généralement les participants à un congrès. Ils vont assister, en effet, à une conférence donnée par un architecte, Bernard Loizeau, fondateur de la société "After the Walls". Vincent Lécuyer joue le rôle de cet architecte utopiste qui, avec beaucoup d’enthousiasme et de conviction, nous invite à sortir de toutes nos boîtes et laisser s’effondrer tous nos murs. La performance de l’acteur est extraordinaire. Seul en scène pendant 1h40, il occupe pleinement l’espace et le temps, en se déplaçant de la scène à la salle et en variant le rythme de son exposé. Le contenu du discours n’est pas toujours clair, il contient des ambigüités, des affirmations contradictoires. Peu importe, car nous n’assistons pas à un cours de philosophie, mais bien à une pièce de théâtre. L’essentiel est le formidable courant d’air de liberté qui s’en dégage. Comme le conférencier sollicite à plusieurs reprises et fort habilement la participation du public, il arrive qu’un spectateur oublie qu’il se trouve au théâtre et entre dans le simulacre d’interactivité en s’adressant au comédien comme si celui-ci était effectivement le personnage, c’est-à-dire l’architecte-auteur de son discours ! Ce fut le cas, brièvement, lors de la représentation à laquelle j’assistais le 25/04/2014.
Une dernière note : la fin de la pièce est surprenante et magnifique, avec l’intervention de la vidéo et l’implosion du décor...

Félicitations à l’auteure Anne-Cécile Vandalem et à l’interprète Vincent Lécuyer !

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After the walls (utopia)

Moyenne des spectateurs